((Traduction automatisée par Reuters, veuillez consulter la clause de non-responsabilité https://bit.ly/rtrsauto))
(Ajout d'un commentaire de Novartis au paragraphe 3) par Blake Brittain
Novartis NOVN.S n'a pas réussi à convaincre une cour d'appel américaine, mercredi, d'arrêter le générique proposé par MSN Pharmaceuticals pour Entresto, le médicament à succès de Novartis pour les maladies cardiaques.
La Cour d'appel fédérale a confirmé la décision prise en août par un juge fédéral du Delaware, qui avait estimé que Novartis n'avait pas prouvé qu'il était susceptible de gagner un procès en matière de brevets contre MSN concernant le médicament, ce qui a permis de lever un obstacle au lancement par MSN de ce qui serait le premier générique américain d'Entresto.
Novartis a déclaré dans un communiqué qu'il n'était pas d'accord avec la décision et qu'il "envisageait toutes les options possibles pour défendre vigoureusement ses droits de propriété intellectuelle, y compris d'autres options d'appel"
Les porte-parole et les avocats de MSN n'ont pas immédiatement répondu à une demande de commentaire.
Entresto est le médicament le plus vendu par la société suisse Novartis, dont le chiffre d'affaires s'est élevé à plus de 6 milliards de dollars l'année dernière. La version d'Entresto de MSN a été approuvée par la Food and Drug Administration américaine en juillet.
En 2022, Novartis a intenté un procès à MSN et à d'autres sociétés cherchant à lancer des génériques d'Entresto devant un tribunal fédéral du Delaware pour violation présumée d'un brevet qui expire en 2026. Après l'approbation de la FDA, Novartis a demandé une injonction préliminaire qui empêcherait MSN de lancer son générique pendant la durée de l'affaire, qui doit être jugée lundi.
Le juge du district américain Richard Andrews a rejeté la demande de Novartis en août, estimant qu'il n'y avait pas suffisamment de chances que Novartis obtienne gain de cause sur ses plaintes pour justifier l'injonction. Le juge a suspendu le lancement du générique proposé par MSN pendant que Novartis faisait appel auprès de la Cour d'appel fédérale.
La cour d'appel de Washington a confirmé mercredi la décision de M. Andrews et a déclaré qu'elle ne voyait "aucune erreur manifeste dans l'analyse du tribunal de district"
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